Saint Éloi dignement honoré en l’église Saint Paul.
Le 1° décembre (date anniversaire de la mort de St Eloi en 660) Les paroissiens de Cheval-Blanc suivirent la procession autour de l’église avec la statue de Saint Éloi portée par 4 prieurs, puis ils assistèrent à la messe célébrée en souvenir de St Eloi. Une fois la messe dite, les brioches réservées purent être retirées. À la sortie, une petite collation était proposée aux fidèles sur le parvis.
La question a été posée : « Est ce Saint Eloi qui a dit au roi Dagobert qu’il était mal culotté ? » en fait nul n’en est sûr ; d’ailleurs la chanson fut écrite beaucoup plus tard, dans les années 1780 pour se moquer du roi et du clergé…
Alors la fameuse scène :
« Le bon roi Dagobert
A mis sa culotte à l’envers ;
Le grand saint Éloi
Lui dit : Ô mon roi !
Votre Majesté
Est mal culottée.
C’est vrai, lui dit le roi,
Je vais la remettre à l’endroit. »
N’est peut-être qu’une invention et la gazette de Cheval-Blanc ne pouvant relayer de Fake News, nous n’en parlerons pas.
Retenons cette certitude : Saint Eloi est le saint patron des agriculteurs, et son souvenir est dignement fêté sur notre commune.
Bertrand Serge
Périchola, une dernière fois à La Licorne. Mais en matinée le dimanche 1/12.
Le dimanche 1° décembre en matinée, la Licorne a présenté sa pièce « Périchola ». L’horaire particulier a permis d’accueillir un certain nombre de spectateurs et de partager avec eux cette comédie/farce. Des spectateurs qui ne seraient peut-être pas venus à un horaire plus tardif….
Un beau moment ! Le spectacle vivant garde un attrait indiscutable. Partager avec un public c’est gratifiant. Même s’il y a un peu de tristesse pour une dernière : quitter un texte qu’on a « travaillé » pendant plus d’une année, n’est pas facile mais c’est plus agréable quand on le fait avec un public d’amis. Quant à l’horaire en matinée il semble en séduire certains et sera reconduit à l’avenir.
Après la représentation, il y eu beaucoup d’échanges autour de la buvette, dans une ambiance chaleureuse et familiale. Non le spectacle vivant n’est pas ennuyeux, il peut même être très amusant.
Bertrand Sergent.
Ça y est la boîte aux lettres du Père Noël est en place !
Le père Noël l’a installée sur la Place de la mairie en face de la Poste.
Il ne faut plus trainer !! Petits et Grands enfants ont 𝗷𝘂𝘀𝗾𝘂’𝗮𝘂 𝟭𝟓 𝗱𝗲́𝗰𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 pour y déposer leurs lettres. Mais surtout 𝐍’𝐨𝐮𝐛𝐥𝐢𝐞𝐳 𝐩𝐚𝐬 𝐝𝐞 𝐦𝐞𝐭𝐭𝐫𝐞 dans votre lettre : 𝐯𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐧𝐨𝐦, 𝐩𝐫𝐞́𝐧𝐨𝐦 𝐞𝐭 𝐚𝐝𝐫𝐞𝐬𝐬𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 que le 𝐏𝐞̀𝐫𝐞 𝐍𝐨𝐞̈𝐥 puisse vous répondre.…
Dépêchez-vous c’est jusqu’au 15 décembre.
Bertrand Sergent.
La Méditation des trois Licornes.
Lors d’une séance de méditation de groupe à La Licorne, Nicole nous a fait concentrer sur le tableau que voici :
Chacun se laissant porter par les sentiments et les émotions que cela lui provoquait. Et, lors de l’échange de nos sensations en fin de séance, une histoire est née. Je ne peux m’empêcher de la partager avec vous.
Voici l’histoire : « Les Trois Licornes »
Dans le soleil couchant, elles piaffaient insouciantes et heureuses. Levant parfois leur unique corne vers le ciel étoilé. Sous leur sabots l’herbe était bleuie par l’étrange lumière du soleil plongeant sous l’horizon. Tout semblait calme, pourtant … Elles se regardaient et une inquiétude naissait doucement.
Puis vinrent les étoiles filantes, d’abord une ou deux, puis de plus en plus. Elles zébraient le ciel noir de leurs lueurs. Cela l’illuminait de façon fugace un peu comme les fusées des feux d’artifice. Les Licornes regardaient surprises et étonnées par la beauté du spectacle.
Mais l’intensité des lumières augmenta, l’une d’entre elles devint très grosse : une énorme boule de feu prit place au centre du ciel estompant pas sa vivacité les lueurs du soleil.
Les Licornes comprirent : ce n’était pas une banale étoile filante mais un énorme météore qui fonçait vers la terre ! Par le biais de leurs cornes elles purent rapidement échanger et une évidence leur est apparue : Il y avait un grand danger pour elles comme pour leurs amis les dinosaures. Dans un élan commun elles partirent pour aller les avertir. D’abord doucement, puis, voyant la boule de feu du météore augmenter rapidement, la peur les gagnât et elles se mirent à galoper de plus en plus vite en cherchant leurs amis. Elles filaient comme le vent, si vite que bientôt je ne les voyais plus…
Que s’est-il passé ? Nul ne sait ! mais ce que je sais, c’est que depuis ce jour là on ne revit plus jamais, ni une licorne, ni un dinosaure. Et on retrouve des morceaux de météorites partout dans le monde.
Nicole et Bertrand : écriture collective de tout le groupe de méditation de La Licorne.
Au mas Saint Paul une conférence sur la symbolique de la table de Noël.
Le père de Pierre Sellier, un avignonnais, était très attaché aux traditions de cette nuit de Noël. Pierre a connu dans l’enfance les rituels de ces jours si particuliers. Plus tard il a reçu une formation scientifique et est devenu médecin. Mais, il n’a pu s’empêcher de chercher à comprendre d’où venait toute cette symbolique des journées de Noël Il s’est lancé dans l’étude de ces fêtes calendales (qui appartient à Noël) d’abord en étudiant la bible, mais aussi en parcourant les légendes et traditions du monde sur le sujet de Noël. Il a ainsi retrouvé beaucoup de similitudes d’un pays à l’autre : de l’écosse au sud-ouest, des pays nordiques à la Corse. Et des évolutions au fil du temps. Tout cela n’étant pas toujours en rapport avec l’église.
Pendant une heure, à l’observatoire de la langue et de la culture provençales, au cours d’une conférence passionnante sur « la symboulico de la taulo de Nouvè » (La symbolique de la table de Noël) Pierre Sellier a expliqué avec de nombreuses références certaines de nos traditions. Celle de la bûche qui doit brûler toute la nuit (et plus si possible). Elle pourrait symboliser l’arbre de la connaissance qu’Adam et Ève ont volé à dieu, ce qui nous a privé de l’immortalité et du paradis. La tradition de la table elle-même, qui doit être couverte de trois nappes de tailles différentes de façon que l’on voit bien qu’il y en a trois. Un coin des nappes doit être relevé pour bien surveiller que le diable ne vient pas se cacher sous la table. Car tout fait référence à Dieu et au Diable, comme à la vie et la mort. Et lorsque l’ancien de la maison, aidé du plus jeune, met la bûche au feu il prononce cette phrase traditionnelle « Se sian pas mai, que siguen pas men » qui signifie « que si nous ne sommes pas plus, que nous ne soyons pas moins », autrement dit : qu’il y ait des naissances, c’est possible, mais surtout pas de décès.
Une heure de temps c’est trop peu pour exposer tout ce que Pierre Sellier à découvert en étudiant ces traditions. Mais il a rédigé un livre « Symbolique des Rites Provençaux de la vigile de Noël » Avec beaucoup de gentillesse il a répondu aux questions tout en dédicaçant son livre.
Bertrand Sergent.
Un Marché de Noël à la « Résidence les Sereins ».
C’était la première fois que la Résidences les Sereins organisait un marché de Noël en ses murs. C’est la constatation qu’il est difficile pour les résidents des Sereins de se rendre sur les divers marchés de la région, qui a incité Camille REY, la directrice et son équipe à lancer l’idée d’un « Marché de Noël à domicile » Selon l’adage : « Si tu ne peux aller au Marché de Noël, c’est le Marché de Noël qui viendra à toi ». C’est ainsi qu’un certains nombre d’exposants contactés ont répondu favorablement et les résidents ont pu faire leur marché chez eux. Un stand était tenu par Martine Chatelard et des parents de résidents, avec mise en vente de leurs créations faites au cours des ateliers manuels. Le but étant le Marché sur place plus que la rentrée d’argent, mais cela permettra quelques petits bonus pendant l’année.
Pour ajouter à l’animation, la Ferme de Billy-Billy de l’Isle Sur La Sorgue, une ferme pédagogique, est venue s’installer devant la résidence pour la journée. Ainsi les petits enfants des résidents venus voir leurs grands-parents ont pu admirer les animaux de la ferme et leur donner à manger.
De l’avis unanime c’est un succès et ce premier Marché de Noël ne sera pas le dernier ! Rendez-vous est pris pour l’an prochain. Les résidents, leurs parents, les exposants et la ferme de Billy-Billy, ainsi que toute l’équipe de la résidence des Sereins, tous sont ravis de cette belle journée de fête pour préparer Noël.
Bravo à tous et « Bon bout d’an ! »
Bertrand Sergent.
Merci aux Sponsors : aujourd’hui « L’Alezan »
Voila un an maintenant que la « Gazette de Cheval-Blanc » vous tient informés des évènements sur la commune. Cette fonction est bénévole mais il y a cependant des coûts, et la Gazette comme la Licorne ne pourraient perdurer sans un peu d’aide. Heureusement nous avons des soutiens : des particuliers satisfaits de nos actions. Mais aussi des commerçants ou des professionnels qui se sont montrés généreux. Merci à eux tous et en cette fin d’année 2024 nous allons les remercier individuellement.
Aujourd’hui « L’Alezan »
Ce sont les premiers à avoir accepté tout de suite de nous aider, et ceci en faisant un don de la part du Bar Restaurant comme de L’épicerie. Cela fait 8 ans que Martial (dit Shiou) Bujosa et Lucie Bujosa ont repris le Bar restaurant sur la Canebière qu’ils ont appelé « L’Alezan »
Ces chevalblanais de longue date, puisque Lucie qui a maintenant 53 ans est née à Cavaillon et est de Cheval-Blanc depuis son enfance, tandis que Martial qui a 64 ans est arrivé en 1974. Ils sont intégrés au village et la convivialité est de mise au bar restaurant. D’autant qu’ils ont ouvert il y a 7ans l’épicerie du même nom et c’est Morgane la fille de Martial qui s’est jointe à eux.
Le bar restaurant est ouvert du mardi au samedi midi ainsi que vendredi et samedi soir.
L’épicerie vous attend toute la journée du mardi au samedi et les lundi et dimanche matin.
Toujours prêts à accueillir les associations de la commune, ils sont devenus naturellement un soutien de la Gazette. Merci à eux : maintenir le lien sur notre commune c’est ce qui compte.
Et Derrière le comptoir toujours le sourire de Lucie !
Bertrand Sergent.
Merci aux Sponsors : aujourd’hui « L’Auberge de Cheval-Blanc. »
Ils ont toujours soutenu d’abord, La Licorne, puis la Gazette. Et, alors que je blaguais avec eux, ils m’ont soumis l’idée du sponsoring…. C’est dire s’ils ont tout de suite participé, merci à eux.
Il faut dire que William et Michel sont des acteurs de la vie sociale de notre commune.
C’est le 15 novembre 2015 qu’ils ont repris l’auberge du village:« L’Auberge de Cheval-Blanc ».
Leur objectif créer un lieu convivial intégré au cœur du village : William 65 ans, fort de son expérience officie derrière les fourneaux, et Michel 62 ans assure un accueil chaleureux et un service convivial.
Leur devise « Venez le ventre vide. Repartez heureux » : mission accomplie, nombreux sont leurs hôtes qui sont devenus des amis.
Ils accueillent du jeudi au mardi, midi et soir (ferment le mercredi). L’auberge assure aussi un service traiteur et peut aussi proposer des repas « à l’envie» (menu composé selon les désirs du client). De temps à autre, ils proposent des repas à thème, j’ai un très bon souvenir du « Repas Corse »
Les associations viennent pour des occasions : remise de prix, nouveaux maillot, remerciements aux sponsors etc…
Partenaires de la vie communale, William et Michel ont le même désir que la Licorne et La Gazette : apporter un « plus » au village de Cheval-Blanc. N’hésitez pas à faire appel à eux.
Bertrand Sergent.
Maison illuminée à Cheval-Blanc.
Quand la nuit, vous arrivez à Cheval-Blanc Par La route de Cavaillon dés le mois de décembre à l’entrée du village, vous ne pouvez manquer une maison magnifiquement illuminée.
Voilà plus de 20 ans que M. Do Casal décore sa maison chaque année pour les fêtes de Noël et c’est avec plaisir que nous constatons que pour ce Noël 2024, il n’a pas manqué d’installer une profusion de lumières de Noël sur sa maison en en faisant ainsi un lieu féérique.
Habituellement il en ouvre les portes en fin d’après-midi et, la nuit tombée, c’est un ravissement de pénétrer dans ce lieu tout illuminé pour Noël. Je crois que c’est encore prévu cette année, alors renseignez-vous.
Bertrand Sergent.
Merci aux Sponsors : et en particulier la « Boucherie Montagnon »
La Boucherie Montagnon a ouvert sur Cheval-Blanc il y a 8 mois environ…. À cette époque, mis au courant de notre demande d’aide, c’est sans hésiter que Cédric Montagnon, pourtant en pleine création de sa boucherie, s’est proposé pour un mécénat. La Gazette apprécie le geste envers une association de la commune.
Il faut dire que Cédric Montagnon est chevalblanais depuis huit années, il habite sur le chemin du milieu et s’y est même marié ! Il gère depuis 9 ans une boucherie à Mérindol et c’est tout naturellement qu’il s’est lancé dans cette création sur notre commune. Ils sont 5 personnes pour assurer le service et il faut bien cela, car la demande est importante. Cédric est très satisfait de ces premiers mois sur la Canebière, cela s’appuie sur des produits de valeur : le Label Rouge y est omniprésent. Et dans les vitrines réfrigérées se côtoient des viandes et charcuteries de qualité et des produits maisons. Tandis que devant les vitrines se bouscule une clientèle aussi satisfaite que l’est Cédric Montagnon.
N’hésitez pas à faire appel à eux c’est avec un grand sourire que vous serez accueillis. !
La boucherie Montagnon est ouverte du mardi au samedi de 7h30 à 12h30 et de 15h30 à 19h.
Bertrand Sergent.
Don de Sang le lundi 16 décembre.
Ce 16 décembre à la salle des moulins, c’est toute une équipe médicale épaulée de bénévoles qui assurait la prise en charge des donneurs de sang.
La présidente Sabine Debusschere qui, comme vous pouvez le constater sur la photo donne de sa personne au propre comme au figuré, était un peu déçue devant la baisse des donneurs : Peu de réservations et quelques donneurs en début d’après-midi. Heureusement, Il y a un peu plus de réservations pour la fin d’après-midi.
Bravo au personnel médical et à tous ces bénévoles donneurs ou animateurs qui sont prêts à aider.
Renseignements au : dondesang.efs.sante.fr .
Bertrand Sergent.
Conseil Municipal du 16/12/2024
Voici un résumé de la séance du Conseil municipal du 16 décembre qui nous a été communiqué par Muriel Sarnette adjointe au maire chargée de la communication :
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Décisions prises par le Maire :
Provisions pour contentieux en cours, écritures comptables, résiliation amiable du contrat de nettoyage des locaux communaux avec la société AIXIA et choix d’un nouveau prestataire suite consultation.
Ordre du jour :
*Désignation de 2 référents déontologues des élus et adhésion à la mission d’assistance et de conseil proposée par le Centre de Gestion
*Remplacement des sièges vacants à la commission d’appel d’offres et marchés à procédure adaptée suite au décès de Michel FAUCHON et à la démission de Bernard NAHON
*Révision du tarif de location de mobiliers pour les particuliers : tables + chaises (pour 200 personnes maxi)
-De 1 à 25 personnes : 25€
-De 25 à 50 personnes : 35 €
-Puis 50 € par tranche de 50 personnes
*Caution : 150 €
*ouverture de crédits d’investissement avant le vote du budget 2025.
*renouvellement et actualisation de la convention relative au service commun » autorisations du droit des sols « avec la communauté d’agglomération LMV (= autorisations d’urbanisme de communes membres de LMV)
*Révision des statuts du Syndicat mixte du Parc Régional du Luberon
*attribution d’une carte cadeau de 100 € aux agents
*participation financière de la commune à compter du 1er janvier 2025 pour les risques « Prévoyance « des agents par le biais de contrats labellisés en attendant le décret pour passage sur le contrat groupe du Centre de Gestion pour tous les agents
*mise à jour du tableau des effectifs dans la filière technique.
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Bertrand Sergent d’après le communiqué de Muriel Sarnette.
Autre soutien de La Gazette : La « Cave à Aimé ».
La Cave à Aimé a ouvert le 4 juin et ils ont très vite décidé de soutenir La Gazette de Cheval-Blanc alors qu’ils venaient juste de créer leur boutique et nous les en remercions.
Mais il est vrai que Jeremy Boudoire et Loris Lethier se sont sentis très bien accueillis à Cheval-Blanc. Que ce soit de la part de la municipalité, des commerçants de la commune ou des chevalblanais, ils ont reçu un accueil chaleureux et sont ravis de leur implantation sur La commune.
Leurs soirées vigneronnes organisées mensuellement reçoivent de plus en plus de succès et la dernière a accueilli environ 45 participants, ce qui est bien pour leur local !
La Cave est ouverte du mardi au samedi de 10h à 12h30 et de 16h à 19h30. Il y est proposé des vins de la région, des bières artisanales, dont celle des Ouailles du Luberon, mais présentent des vins et des bières d’autres régions de France. Ils proposent aussi des spiritueux. Et à cela s’ajoutent des produits de la région, en particulier de l’huile du moulin de Mérindol pressée à la meule de pierre, des tapenades artisanales et surtout une banque de fromages et charcuteries avec vente à l’unité ou en plateau…
Mais attention
pour les fêtes la cave sera ouverte le dimanche 22 et le lundi 23 et de plus le 24 décembre ce sera en horaire continu. (Fermé le 25 décembre.) De même le dimanche 29 et lundi 30 décembre précédant la saint Sylvestre, ils resteront ouverts.
Bertrand Sergent.
Liza a pu ouvrir à Cheval-Blanc pour les fêtes.
Linda Laverau passionnée de nutrition et de cuisine saine avait déjà une biscuiterie sur Mallemort : LepTicurien ! L’opportunité s’est présentée de venir ouvrir un « Salon de thé » sur Cheval-Blanc situé à l’espace Clément Donnat. Et voilà qui est fait, elle s’est démenée pour surmonter toutes les difficultés et ce mercredi 18 décembre c’était le jour de l’ouverture de « Liza by Leptcurien».
Désormais ce « salon de thé » proposera des gâteaux, mais aussi des brunchs, des petits déjeuners, des pancakes, des snacks à midi…. Des collations élaborées dans le respect d’un mode de vie sain et équilibré.
Bienvenue Linda, nous sommes heureux de vous accueillir à Cheval-Blanc.
Bertrand Sergent.
La Pizza Berard, un autre soutien naturel de la Gazette.
Cela fait trente ans que Laurent Berard (dit Lolo le pizzaiolo) a ouvert son premier camion/pizza sur Cheval-Blanc. Nous nous connaissons depuis plus de 40 ans et avec moi, comme avec de nombreux chevalblanais, se sont créés des liens d’amitié. Alors, quand la gazette a fait appel aux sponsors, c’est tout naturellement qu’il a participé et je tiens à le remercier.
Depuis ses débuts il a progressé, c’est maintenant avec une équipe de 6 personnes, des copain(e)s avec lesquels il prend plaisir à travailler : Tout d’abord le camion sur la commune les soirs du mardi au dimanche à partir de 18h30 et le camion se déplace le matin de marché en marché. Depuis quelques mois (un peu plus d’un an) il a installé une « machine distributeur automatique de pizzas » sur la Canebière à côté de son emplacement habituel. Avec son équipe, jeune et dynamique, il a pu reprendre la pizzéria de la gare à Cavaillon et des projets sont en cours sur Plan d’Orgon.
Voilà un pizzaiolo très dynamique et il faut dire très gai : chaque fois que nous nous voyons, nous échangeons des vannes, je lui parle de son premier camion et lui de mon premier cabinet….
C’est un plaisir de savoir qu’il est un soutien de La Licorne et de la Gazette.
Ami Laurent, continue de nous nourrir et de me faire rire.
Bertrand Sergent.
Le traditionnel repas offert aux anciens.
Le 19 décembre dans la salle des Moulins a eu lieu le repas de Noël du maire traditionnellement offert aux personnes de la commune âgées de plus de 80 ans et aux adhérents de l’Oustau.
200 personnes, dont le père Jean-Marie accompagné de 2 autres pères de la paroisse, ont été accueillies pour ce repas concocté par le Puits Fleuri (excellent repas ! )
Pour l’animation : chanteur et danseuses de « Nos Folies Douces. »
Un vrai plaisir de se retrouver à l’occasion de ce repas de fête.
Le chanteur et les danseuses ont fait monter sur scène 3 hommes, pris au hasard, pour les initier au French-Cancan : Monsieur Gaillard un monsieur sympathique qui fréquente l’Oustau avec son épouse, Monsieur Céruléo et … Christian !, sans savoir que c’était le maire ! L’animateur a demandé à chacun de trois si on les connaissait ! Arrivé à Christian c’était un moment rigolo !
Après le repas, les convives ont entrepris de se dégourdir les jambes, madison et autres danses.
Beaucoup de joie et de bonne humeur pour le repas de nos « anciens »
Sur les photos (ci-dessous) on voit l’initiation au french Cancan, mais, sans manquer de respect envers nos valeureux volontaires/désignés, c’est tout de même mieux avec les vraies danseuses.
Communiqué par Marie Thérèse (adjointe au Social, CCAS et ADMR)
Bertrand Sergent.
Pour aider Mayotte
La municipalité s’est posé la question de comment aider les populations de Mayotte. Elle s’est donc rapprochée de l’association des maires de Vaucluse AMFV.
Afin d’informer les citoyens, la mairie nous fait passer ce communiqué sur les possibilités qui vous sont offertes. Le voici donc :
Bertrand Sergent.
Une veillée comme on aime !
Il était 19 h ce vendredi 20 décembre et ils étaient une cinquantaine à se presser pour se mettre à l’abri du Mistral glacial dans le mas Saint Paul. À l’intérieur, entre les beaux murs de pierres apparentes et sous les poutres du plafond, ils purent assister à une veillée « comme autrefois ». Plusieurs associations se sont unies pour organiser cette soirée : l’Association Environnement et Qualité de Vie (à l’origine du projet), la municipalité, Le collectif Prouvènço, La Licorne et le Trac. Et trois arts différents se sont succédé devant les spectateurs. Tout d’abord un conteur Gilbert Chiron, venu du Trac qui nous a raconté des histoires de Provence, histoires de loups, de bergers ou de moulins à vent. Avec sa faconde et son langage mi français, mi provençal mais parfaitement compréhensible, il a entrainé le public dans la Provence d’antan. Intarissable quelque soit le thème tiré au hasard dans un panier de feuilles mortes. Entre les contes, un groupe des chanteurs de l’Embelido de Cavaillon, groupe de traditions provençales, interprétait des chansons en provençal. Et venant de Jonquière, des comédiens du groupe parlaren Jonquiero, Les « Amis de Jan-Peire », du nom de son fondateur, ont présenté quelques saynètes en provençal.
Un copieux buffet à clôturé la soirée, et les conversations allaient bon train, entre les chevalblanais venue en nombre et des provençaux d’autres communes ! Le président Jean-Pierre Richard, comme Delphine de l’accueil pouvaient être satisfaits de cette ouverture du Mas Saint Paul vers ce Cheval-Blanc d’aujourd’hui et cette Provence de maintenant. C’est avec ce type de rencontre que l’on peut faire perdurer la culture provençale. Une réussite que cette veillée provençale ! Bravo à tous les partenaires de cette belle manifestation.
Bertrand Sergent.
Le Foyer Rural : Un sponsor spécial.
Parmi les sponsors, il y eu des particuliers préférant rester discrets, des commerçants que nous tenons à mettre à l’honneur mais un des donateurs n’est ni un particulier, ni un commerçant : C’est le Foyer Rural, de Cheval-Blanc conscient de l’intérêt d’avoir des informations locales, ils ont aidé La Licorne et La Gazette. Alors merci au Foyer Rural, un fleuron de notre tissu associatif.
D’ailleurs, Il y a toujours une bonne ambiance au foyer rural et pour preuve voici quelques photos transmises par Sabine : les cours de gym sous les couleurs de Noël ! Ou comment allier effort et plaisir.
Photos transmises par Sabine.
Bertrand Sergent.
Le marché de Noël Les prémices d’un moment de fête.
Le ciel était gris, mais il n’y a eu ni pluie, ni neige et peu de vent : ce temps d’hiver pas trop froid a permis au marché de Noël de se dérouler tranquillement. Les étals des exposants étaient visités par les badauds. Ce n’était pas la fièvre acheteuse, mais l’ambiance était amicale et bon enfant. Le concours de dessin a permis de patienter en attendant l’arrivée du Père et de la mère Noël. Ils étaient précédés de lutins aux grandes jambes. Petits (et grands) ont contemplé le spectacle avec ravissement.
Plus tard dans l’après midi eut lieu l’accueil des nouveaux arrivants sur la commune. Le maire a pu leur présenter les conseillers et les adjoints, ainsi que les représentants des diverses associations de la commune, mettant en évidence un conseil municipal uni autour de son maire et un « tissu associatif » riche et solidaire.
Un marché de noël qui s’ouvre sur des fêtes de fin d’année que nous vous souhaitons belles et pleins de vœux pour une Année 2025 heureuse.
Bertrand Sergent.
Un sponsor dynamique : Corinne du Tabac de la Canebière.
Depuis 13 ans Corinne tient le tabac sur la canebière, elle s’est diversifiée en proposant cigarettes électroniques et CBD. Elle est aussi reliée à La Française des Jeux et assure un Relay Colis sur sa boutique. De plus elle y propose le retrait d’espèces, ce qui du fait de l’absence de distributeur est bien utile sur la commune.
Et lorsqu’on le lui demande, elle déclare sans hésiter qu’elle est ravie d’être sur Cheval-Blanc. Ses enfants y sont allés à l’école du village et, si elle a travaillé sur d’autres communes, elle est revenue sur la nôtre dès qu’elle a pu, car elle en apprécie la qualité de vie et surtout son « tissu associatif » qu’elle trouve riche et vivant. C’est donc tout naturellement qu’elle s’est jointe aux sponsors de la Gazette ce journal Web qui assure un lien entre citoyens et associations. La gazette la remercie.
Et en janvier 2025 elle reviendra à la gazette pour annoncer un nouveau projet.
Sur la photo Corinne encadrée par son équipe.
